A serene moment capturing bare feet in a lush forest, dappled by sunlight.

Rien de tel qu’une promenade en forêt pour déconnecter de nos écrans, de notre quotidien, de nos préoccupations pour s’aérer l’esprit, prendre du recul et se détendre.

Du Shirin-yoku à la sylvothérapie

Le bain de forêt ou Shirin-yoku en japonais, est une pratique consistant à évacuer son stress par des promenades en forêt et à renouer avec le rythme de la nature. Cette pratique a été mise en avant dans les années 1980 au Japon afin d’encourager ses habitants, stressés par le rythme de leur vie professionnelle et urbaine, à prendre soin de leur santé physique et mentale.

La pratique du Shirin-yoku a rapidement connu un franc succès, car sa philosophie puisait ses sources dans la tradition ancienne du shintoïsme qui consistait à relier les esprits aux forces de la nature. Il s’agissait de créer une connexion et une harmonie avec celle-ci par la contemplation et l’immersion dans les paysages naturels. Le docteur Qing Li, professeur à la Nippon Medical School de Tokyo et expert en médecine forestière a étudié scientifiquement les effets physiologiques bénéfiques des bains de forêt dans les années 1990 et 2000. En occident, les bains de forêt ont été associés à la sylvothérapie.

Si les paysages et les cultures diffèrent, le bien être procuré par cette pause nature est indéniable. Passer du temps en forêt, même une courte période comme 20 à 30 minutes, entraînerait une diminution du taux de cortisol (l’hormone du stress) dans le sang, favorisant ainsi un état de détente tout en améliorant la concentration. Ces effets sont attribués à l’exposition aux phytoncides (composés organiques émis par les arbres), à l’air pur et à la stimulation sensorielle douce de l’environnement naturel, qui permettent à l’esprit de se déconnecter des sollicitations constantes du quotidien.

Woman standing amidst dark green plants, looking up thoughtfully in an outdoor setting.

Du Shirin-yoku à la sylvothérapie

Le bain de forêt ou Shirin-yoku en japonais, est une pratique consistant à évacuer son stress par des promenades en forêt et à renouer avec le rythme de la nature. Cette pratique a été mise en avant dans les années 1980 au Japon afin d’encourager ses habitants, stressés par le rythme de leur vie professionnelle et urbaine, à prendre soin de leur santé physique et mentale.

La pratique du Shirin-yoku a rapidement connu un franc succès, car sa philosophie puisait ses sources dans la tradition ancienne du shintoïsme qui consistait à relier les esprits aux forces de la nature. Il s’agissait de créer une connexion et une harmonie avec celle-ci par la contemplation et l’immersion dans les paysages naturels. Le docteur Qing Li, professeur à la Nippon Medical School de Tokyo et expert en médecine forestière a étudié scientifiquement les effets physiologiques bénéfiques des bains de forêt dans les années 1990 et 2000. En occident, les bains de forêt ont été associés à la sylvothérapie.

Si les paysages et les cultures diffèrent, le bien être procuré par cette pause nature est indéniable. Passer du temps en forêt, même une courte période comme 20 à 30 minutes, entraînerait une diminution du taux de cortisol (l’hormone du stress) dans le sang, favorisant ainsi un état de détente tout en améliorant la concentration. Ces effets sont attribués à l’exposition aux phytoncides (composés organiques émis par les arbres), à l’air pur et à la stimulation sensorielle douce de l’environnement naturel, qui permettent à l’esprit de se déconnecter des sollicitations constantes du quotidien.

Woman standing amidst dark green plants, looking up thoughtfully in an outdoor setting.
Close-up of hands embracing a tree trunk in a serene autumn forest setting.
Cinq en feuilles de chêne

Shinrin-Yoku : Ressentez la forêt à travers vos 5 sens

Le Shirin-yoku est l’art japonais de se ressourcer en forêt. C’est la marche lente, sans but précis, en se concentrant sur son environnement via ses cinq sens:

  • les sons (oiseaux, vents dans les feuilles, bruit des pas sur le sol…)
  • les odeurs (résine, terre humide, fleurs…)
  • le toucher des textures (écorces, mousses,…)
  • la vue par l’observation (des couleurs de saison, des volumes, des arbres, de la flore, des champignons, de la faune, des traces d’animaux ou d’oiseaux…).
  • le goût quand la nature nous offre de tester ses fruits saisonniers (les mûres, les pissenlits, l’ail des ours…)
Cinq en feuilles de chêne

Shinrin-Yoku : Ressentez la forêt à travers vos 5 sens

Le Shirin-yoku est l’art japonais de se ressourcer en forêt. C’est la marche lente, sans but précis, en se concentrant sur son environnement via ses cinq sens :

  • les sons (oiseaux, vents dans les feuilles, bruit des pas sur le sol…)
  • les odeurs (résine, terre humide, fleurs…)
  • le toucher des textures (écorces, mousses,…)
  • la vue par l’observation (des couleurs de saison, des volumes, des arbres, de la flore, des champignons, de la faune, des traces d’animaux ou d’oiseaux…).
  • le goût quand la nature nous offre de tester ses fruits saisonniers (les mûres, les pissenlits, l’ail des ours…)

Two friends laying in a serene forest during autumn, surrounded by golden light and fog.
Le vert soigne les yeux, photo de Drew Dizzy Graham

Le vert soigne les yeux